dimanche 28 août 2011

Lectures – Rue des Maléfices (3)

Un champ d’humour (d’humour souvent noir d’ailleurs, ô André Breton !) nous entoure, nous pénètre — et, qui sait ? peut-être nous détermine —, de même que l’énergie dans la constante de Planck.

[…]

Entendez bien :

… Rien ne se passe que d’éternel.
Il n’y a pas eu de commencement.
Il n’y aura pas de fin.
IL Y A.

Jacques Yonnet, Rue des Maléfices.

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