Un champ d’humour (d’humour souvent noir d’ailleurs, ô André Breton !) nous entoure, nous pénètre — et, qui sait ? peut-être nous détermine —, de même que l’énergie dans la constante de Planck.
[…]
Entendez bien :
… Rien ne se passe que d’éternel.
Il n’y a pas eu de commencement.
Il n’y aura pas de fin.
IL Y A.
Jacques Yonnet, Rue des Maléfices.
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