Je n’ai découvert l’édition Peter Lang* qu’après.
Mais j’aurais de toute façon utilisé l’édition en ligne** parce qu’elle est
accessible à tout un chacun — ce qui permet de vérifier que je ne fais pas un
usage abusif des (nombreuses et excellentes) citations tirées de votre travail***).
Je dois ajouter que je ne me suis attaché, comme vous avez pu le constater, qu’à
ce qui concerne les relations Debord / Nougé (et lèvres-nudistes) parce que
vous en faites une relation assez complète — autant que faire se peut — dont il
ressort que l’influence de Nougé sur Debord est bien plus profonde que ce qu’il
en apparaît.
Je préfère également des « échangent »
plus constructifs à « l’insulte » devant laquelle il ne faut pas
cependant reculer quand elle s’avère nécessaire. Vous aurez compris que mon
propos n’est pas le dénigrement systématique qui procèderait de la rancœur — voire
de la haine — que je pourrais avoir à l’encontre de Debord — et pourquoi donc ?
— ; mais je pense que, par les temps qui courent, il est bon de remettre
les choses à leur juste place — et donc Debord, en l’occurrence.
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*** Geneviève Michel, Paul Nougé, La réécriture comme éthique de l’écriture.
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