mardi 13 septembre 2011

Le fond de commerce Debord

ou : Ma petite entreprise ne connaît pas la crise.

Quand les bornes sont passées, il n'y a plus de limite ; c'est bien connu. Toute la littérature qui paraît ces derniers temps sur le Grand Subversif se caractérise par le fait qu'elle est principalement produite par des glossateurs abusifs qui n'ont aucune espèce d'autorité en la matière. Ce qui ne veut pas dire qu'on ne peut pas parler intelligemment de Debord et de l'I.S. — comme Apostolidès, Donné ou Etzold —, évidemment. Mais, il faut interdire à n'importe quel plumitif désœuvré d'écrire hors de son domaine d'incompétence. Il faut chasser les marchands de soupe situe du temple. C'est, me semble-t-il, le « minimum syndical  » dans une époque où l'on a trop tendance, de ce que rien n'est vrai, à se croire tout permis.

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