Un correspondant m’a (opportunément) remis en
mémoire la brochure des « vilains Garnaultins » contre Debord : L’Unique et sa propriété. Je ne l’avais
pas relu depuis pas mal de temps ; et, ma foi, ça tient la route. C’est l’une
des rares critiques « de l’intérieur » sur Debord & Co. Si l’on
passe outre le jargon daté de l’époque (on a vu pire après), la critique ne
manque pas de pertinence. Je donnerai prochainement ce texte en feuilleton,
suivi d’un bref commentaire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire