lundi 9 décembre 2013

Message dans une bouteille



À force de vouloir ménager la chèvre et les chouchous Gérard Berréby va finir par se trouver réduit à manger — et à faire manger — de la sousoupe populaire.

11 commentaires:

  1. On voit que trois ans plus tard vous ne supportez toujours pas d’avoir échoué à faire publier un ouvrage que vous destiniez (!) à Allia.
    Ensuite vous avez fait un appel public :

    MERCREDI 11 AVRIL 2012
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    Je suis toujours à la recherche d’un éditeur pour l’Histoire désinvolte du situationnisme. Ceux à qui je la pensais destinée n’en ont pas voulu. Je me demande bien pourquoi ? Les autres sont les bienvenus — Gallimard y compris.

    Et comme aucun éditeur ne s’est intéressé à votre ouvrage, vous ressassez ce cuisant échec et en gardez une rancœur assez comique envers Gérard Berréby.
    Mais de quoi pouvez-vous vous plaindre ?
    Vous ne serez jamais un auteur Allia, vous ne serez jamais édité, et vous-même n’avez pas le courage de faire paraître votre livre à compte d’auteur.

    Où est le problème ?

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    1. Mon petit Alex,

      Vous êtes un imbécile particulièrement malveillant. Cela dit vous avez tort sur un point : mon Histoire désinvolte du situationnisme sera bien publiée. Certes pas par Allia qui préfère "ménager la chèvre et les chouchous" — en pure perte, d'ailleurs (Cf. la mésaventure des Enregistrements magnétiques qui lui sont passés sous le nez). C'est ainsi, par exemple, que Haute époque de Jean-Yves Lacroix a été publie chez Albin Michel ; Alors que son portrait de Guy Debord en Omar Khayyam a eu les honneurs de la prestigieuse Bibliothèque Allia.

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    2. Vous n’appréciez pas que l’on rappelle vos précédentes mésaventures et vous croyez qu’il vous arrivera la même chose qu’à Lacroix ? Le voilà grillé comme libraire de livres anciens (on ne raconte pas publiquement ses propres affaires dans un milieu aussi discret, cela effraie les clients potentiels) et sa carrière littéraire s’arrêtera là (sur un tel sujet, Allia sait faire la différence entre ce qui est pertinent et ce qui ne l’est pas et même Sollers n’a pas voulu lui accorder le prix Décembre) : ne reste maintenant au pauvre Lacroix que ses illusions passées et son alcoolisme.
      Un conseil donc : commencez à boire pour oublier vos désillusions futures.

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    3. Ce que je n'ai pas apprécié surtout, c'est que Berréby me prenne pour l'imbécile que, contrairement à vous, je ne suis pas. Il était tout à fait libre de ne pas me publier — même sans me donner de raison — ; mais pas de me faire poireauter sans répondre jusqu'à ce que ce soit moi qui finisse par lui demander ce qu'il en était. Ce à quoi il me fut répondu que j'en avais été informé par un courrier — que je n'ai jamais reçu. Puis, sur mon insistance, Berréby m'a demandé de lui renvoyer le livre parce, disait-il, il l'avait peut-être lu trop vite — pour finir par me redire, après que je l'ai relancé parce qu'il tardait encore à répondre, qu'il y avait trouvé des choses amusantes mais que, nonobstant, il ne le publierait pas.

      Quant a Lacroix, dont j'ai trouvé le livre plutôt drôle, il ne risque pas de m'arriver la même chose qu'à lui ; ou alors ce sera à l'envers — ce qui m'étonnerait.

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    4. Mais si, mais si, Berréby vous a bien jugé : vous êtes un amuseur, en plus prétentieux.
      Mais vous n'arriverez à rien et surtout pas à être édité car le temps n'est plus aux divagations pro-situs. Trop tard, le temps de la conciergerie est finie et il ne vous reste plus que ce petit blog pour commenter avec pédantisme et cuistrerie des livres stupides comme celui d'Atlas.
      Lacroix est une pure création d’Allia (traductions, etc.) et Albin Michel découvrira que c'est un fruit sec qui ne peut parler de rien d'autre que de Debord.
      Tout comme vous.
      Car enfin, sans Debord, qu'êtes-vous ?
      Un zéro, tout fier de son expansion continue.

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    5. « Allia sait faire la différence entre ce qui est pertinent et ce qui ne l’est pas » ; « Lacroix est une pure création d’Allia ». Mon petit Alex, vous devriez proposer vos services — si ce n’est déjà fait. (Ou adressez-vous à Sollers et rejoignez-le avec ses amis sur la ligne du risque qui file à grande vitesse du Zéro à L’Infini — et retour.) Vous accablez bêtement le pauvre Lacroix, ses « illusions », son « alcoolisme » — vous préférez certainement celui plus radical de Debord. Vous êtes un malheureux imbécile.

      « Berréby vous a bien jugé ». Berréby n’a rien jugé du tout. Il a soupesé longuement l’intérêt qu’il pouvait y avoir, pour lui et sa « bibliothèque Allia » dont il est si fier, à me publier ; et il a finalement décidé qu’il était préférable de continuer à ménager la chèvre et les chouchous plutôt que de relever un peu la sauce. Chacun jugera de son goût.

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  2. Malgré vos contorsions, vous ne pouvez faire oublier que Berréby n'a pas voulu de votre ouvrage (ni aucun autre éditeur d'ailleurs) comme il n'a pas voulu de celui de Lacroix car il les a jugés tous deux indignes de sa maison d'édition.
    Sur Debord et les situationnistes, vous n'êtes pas au niveau, voilà tout (et sur cette question Berréby en connaît un rayon).
    Il faut vous faire une raison, vous n'êtes qu'un écrivain avorté qui étale des considérations oiseuses sur un risible petit blog. Triste fin mais pleinement méritée.

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    1. Alors mon petit Alex, ça y est, vous êtes embauché ? Gérard Berréby a vu tout le parti qu'il pouvait tirer d'un collaborateur tel que vous. Avec la même pénétration d'esprit qui lui fait trouver à coup sur le bon livre à éditer et écarter le mauvais, il vous a choisi. Faites toutefois attention de ne pas vous "griller" par une impertinence malencontreuse comme ce pauvre Lacroix : évitez de boire.

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    2. Comme vous êtes un insupportable prétentieux, vous refusez d’admettre que votre ouvrage a été refusé pour des raisons qui lui sont intrinsèques et vous préférez imaginer des raisons extérieures à celui-ci : Berréby aurait peur de l'impertinence de votre livre car il mettrait en danger ses relations, et il préférerait ménager la chèvre, etc.
      Rions !
      Mais non, c’est beaucoup plus simple : votre ouvrage de pseudo-critique est faiblard – chacun peut en juger en en lisant des passages sur ce blog – et c’est pour cette raison que Berréby n’en a pas voulu.
      Vos critiques et vos analyses sur Debord et les situationnistes ne sont pas au niveau de leur objet, voilà tout.
      Trouvez-vous un autre passe-temps plus à la mesure de vos capacités : le bricolage, les cocottes en papier ?

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    3. Mon petit Alex, vous êtes un imbécile, c’est entendu. Mais mon ouvrage n’est pas un « ouvrage de pseudo-critique », ni même de critique ; c’est une fantaisie : un grotesque si vous préférez. Même Berréby a fini par admettre qu’il pouvait être amusant. Quant à vos jugements sur mes « analyses sur Debord et les situationnistes », ce sont les jugements d’un imbécile. Évitez donc à l’avenir de m’importuner ; et retournez jouer avec les petits branleurs de votre âge. FIN.

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  3. Vous répétez le mot imbécile comme un mantra, et vous pensez que cela vous protège des idioties que vous écrivez à longueur de billets sur ce blog ?

    Votre bouteille à la mer prend l'eau : Berréby ne lira pas votre message, c'est foutu.
    À reprendre depuis le début.

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