« N’attendant
rien de personne, ni soutiens ni acclamation, ni même reconnaissance, je puis
parler comme je ne l’ai jamais fait. » N’attendant rien non plus du
Millet nous pouvons en parler avec une liberté qui n’a aucun mal à se hisser largement
à la hauteur de sa putasserie verbeuse et prolixe.
« Nous vivons dans les ruines de la France : moins celle de l’humanisme
que de la dimension hellénistique de ce pays. C’est pourquoi nous écrivons, et
parlons notre langue au-delà de sa propre ruine, au-delà d’elle même, en
quelque sorte, et non dans la nostalgie mais dans ce terrible futur où la
langue sera seule, sans nous, parmi les Barbares et les loups, et où nous
serons les fantômes de nos mots. »
Putain ! Ça fout les j’tons !
Enfin, s’il y a une « ruine » là-dedans, c’est bien ce débris de Millet
— qui voudrait faire croire qu’il vient de Crotone.
« Il est évident que l’islam est incompatible avec l’Europe [Putain,
putain…], tant par ses signes extérieurs que par le terrorisme auquel il donne
naissance et qui est sans doute indissociable de son essence, qu’il faut toute
la puissance du Droit et du Capitalisme international pour l’imposer aux
anciennes nations chrétiennes […]. »
Il faut effectivement toute la
puissance intellectuelle de ce « libanais » de la dernière heure pour
savoir ce qu’est « l’essence »
de l’islam dont le cours augmente effectivement beaucoup ces derniers temps et
commence à atteindre des sommets.
(À suivre)
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