« Nous
avons bâti une civilisation sans les Arabes, les Africains, les Asiatiques.
D’une certaine façon nous l’avons bâtie contre eux, contre la steppe, le
désert, le paganisme, l’islam, la barbarie, l’arriération, la fausse innocence
du primitif. Nous avons su arrêter les invasions, et digérer les corps
étrangers. Nous vivons aujourd’hui dans la terreur de l’étranger, ou plutôt
dans celle du Droit par lequel l’étranger se vide de son être pour devenir
l’épiphanie même de la Loi, et se présente comme menace. » [Putain,
putain…]
Nous en sommes arrivés là avec le Millet. Il flippe tellement « dans la terreur de l’étranger » qui
va venir l’égorger lui, ses frères et ses mignon(e)s qu’il ne doit pas quitter
souvent son confortable bureau Gallimard par les (mauvais) temps qui courent.
Qu’il en profite bien, ça ne va peut-être pas durer.
« Seuls
les imbéciles et les propagandistes du Bien [Muray, nous voilà !] – les uns et les autres tirant avantage de
leur bêtise commune – peuvent prétendre que la France [Maréchal, nous (re)voilà !] trouve à s’enrichir de l’afflux
considérable d’immigrés non européen [Putain, putain, c’est vachement bien,
nous sommes quand même tous des européens !] ; bien au contraire, elle en meurt ; et ce que je dis de la France
vaut pour l’Europe [Putain, putain !] tout entière, non pas d’un point de vue populiste, raciste ou
conservateur, mais parce que le Nouvel Ordre moral, celui qui est bâti sur les
deux piliers du Droit et du Marché [Crève, salope !], suppose la destruction de
toute verticalité [Couché !] nationale au profit d’une horizontalité
[Couché, couché !] sans tradition ni
mémoire, ni autre avenir [No future !] que l’éternel présent de l’hédonisme [Muray, Muray !] comme régulateur de conflits. »
(À suivre)
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