Revenons
brièvement sur in situs. Les quelques
extraits que j’ai cité de cette publication sont tirés des seuls articles qui
présentes, à différents titres, quelque intérêt. Ce qui ne fait pas
grand-chose.
Outre
Sandborn, Vaneigem et Marcolini, la plus grande partie de la pagination est
mobilisée par un interminable pensum signé Pierre-Ulysse Barranque intitulé :
De la « Séparation » au
« Spectacle », Guy Debord
et l’aliénation sociale qui nous embarque pour un long et laborieux voyage
à travers les méandres du Spectacle – dont je renonce à rendre compte. Au
sommaire de la revue, on trouve encore une de bouillie hallucinée et
hallucinante : Message du mois de
mars 2013, envoyé à Guy Debord depuis la Zone Occupée de Laurent Jarfer.
Qu’en dire ? C’est vraiment la zone ! Il faut qu’il arrête la
boisson. Il y a aussi un article signé de Yann Beauvais : Films sous influences qui essaie de
recenser l’influence debordienne chez les vidéastes contemporains. Pourquoi
pas ? Mais à quoi bon. Enfin, un message de Morgan Sportès qui nous
explique qu’il écrira sur Debord, mais plus tard. Voilà.
(A
suivre)
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