La BnF désormais détentrice d'un « Trésor national » de plus en la personne de Guy Debord et de ses archives (acquises à prix d'or et qu'elle cherche, c'est bien normal, à rentabiliser un peu) avait déjà manifesté son intérêt pour les rebelles et les maudits en attribuant à Philippe Sollers, lui-même grand debordien devant l'éternel, son « Premier prix » pour « l'ensemble de son œuvre ». (Voir le lien ci-dessous.)
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