On reconnaît les vrais Autonomes (au sens de l'IS of course) au fait que jamais ils n'ont voulu approcher ou prendre contact avec Guy ce qui les différencie des pro-situ. Mais Debord nous connaissait bien comme tous les groupes libertaires, gauchistes, ultra-goche, autonomes, anars... sur Paris et le reste... Son choix de montrer plus particulièrement 2 des nôtres dans son film testament (ACT UP Paris et le borsalino de Philippe) nous avait surpris bien qu'Alice Debord ait dit une sornette sur nous dans un de ses livres sur l'argot en 92/93.
Mr Lucarno, ayant survolé votre blog et ayant une passion pour tout ce qui soulève,j'aimerais vous contacter de visu. Après avoir été inspiré par JPVoyer il y a 37 ans, je l'ai enfin rencontré l'année dernière. La valeur c'est l'idée de l'échange et une rencontre est toujours un acte magique. Le temps des impressions et des étiquettes is over. Ce crétin labellisé libertaire a parfaitement saisi JPV dans sa dangerosité, pour lui.Depuis un certain temps JPV s'est penché sur nos très chairs religions ...... l'estimation du conformisme est plus passionnant.....que celle de la révolution, sacré paradoxe de 2 au delà. 0321061903, la publicité c'est notre essence. Je continue à parcourir votre inventaire. Pour savoir lire il faut savoir vivre, une bonne phrase du brillant falsificateur Debord, je préfère Anders dans le texte même si il commence à m'ennuyer à force de tourner autour du pot. En espérant vous en parler de vive voix. Georges.
M. Georges, je n’ai rien en principe contre les « rencontres » ; mais les rencontres se préparent. J’aimerais d’abord savoir pourquoi vous réagissez précisément à cette mise en garde du « libertaire » contre Voyer ? Sans doute parce vous avez été « inspiré par Voyer » ? C’était il y à 37 ans, dites vous : ça fait un bail ; mais ne l’avoir rencontré que récemment. C’est que durant tout ce temps, rien n’a pu vous en détourner. Pourtant, si l’on peut dire de Voyer qu’il est resté égal à lui-même ; il n’en reste pas moins qu’il a changé aussi. J’ai distingué, pour la commodité de l’analyse, deux Voyer ; et si je reste persuadé que Voyer mérite qu’on s’intéresse à lui et qu’on le lise, je suis en désaccord avec lui sur sa critique du spectacle et sur le sens à donner à sa « proposition majeure » : l’économie n’existe pas. Quel est votre position sur ces questions ?
On reconnaît les vrais Autonomes (au sens de l'IS of course) au fait que jamais ils n'ont voulu approcher ou prendre contact avec Guy ce qui les différencie des pro-situ.
RépondreSupprimerMais Debord nous connaissait bien comme tous les groupes libertaires, gauchistes, ultra-goche, autonomes, anars... sur Paris et le reste...
Son choix de montrer plus particulièrement 2 des nôtres dans son film testament (ACT UP Paris et le borsalino de Philippe) nous avait surpris bien qu'Alice Debord ait dit une sornette sur nous dans un de ses livres sur l'argot en 92/93.
Par quelqu'un qui l'a vécue de 1977 jusqu’à 1994.
Salutations Libertaire
Gaffe à JPV...
Que veut dire : "Gaffe à JPV..."
RépondreSupprimerMr Lucarno, ayant survolé votre blog et ayant une passion pour tout ce qui soulève,j'aimerais vous contacter de visu. Après avoir été inspiré par JPVoyer il y a 37 ans, je l'ai enfin rencontré l'année dernière. La valeur c'est l'idée de l'échange et une rencontre est toujours un acte magique. Le temps des impressions et des étiquettes is over.
RépondreSupprimerCe crétin labellisé libertaire a parfaitement saisi JPV dans sa dangerosité, pour lui.Depuis un certain temps JPV s'est penché sur nos très chairs religions ...... l'estimation du conformisme est plus passionnant.....que celle de la révolution, sacré paradoxe de 2 au delà.
0321061903, la publicité c'est notre essence. Je continue à parcourir votre inventaire. Pour savoir lire il faut savoir vivre, une bonne phrase du brillant falsificateur Debord, je préfère Anders dans le texte même si il commence à m'ennuyer à force de tourner autour du pot. En espérant vous en parler de vive voix.
Georges.
M. Georges, je n’ai rien en principe contre les « rencontres » ; mais les rencontres se préparent. J’aimerais d’abord savoir pourquoi vous réagissez précisément à cette mise en garde du « libertaire » contre Voyer ? Sans doute parce vous avez été « inspiré par Voyer » ? C’était il y à 37 ans, dites vous : ça fait un bail ; mais ne l’avoir rencontré que récemment. C’est que durant tout ce temps, rien n’a pu vous en détourner. Pourtant, si l’on peut dire de Voyer qu’il est resté égal à lui-même ; il n’en reste pas moins qu’il a changé aussi. J’ai distingué, pour la commodité de l’analyse, deux Voyer ; et si je reste persuadé que Voyer mérite qu’on s’intéresse à lui et qu’on le lise, je suis en désaccord avec lui sur sa critique du spectacle et sur le sens à donner à sa « proposition majeure » : l’économie n’existe pas. Quel est votre position sur ces questions ?
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